« Ainsi, toujours poussés vers de nouveaux rivages,
Dans la nuit éternelle emportés sans retour,
Ne pourrons-nous jamais sur l’océan des âges
Jeter l’ancre un seul jour ?
Ô lac ! l’année à peine a fini sa carrière,
Et près des flots chéris qu’elle devait revoir,
Regarde ! je viens seul m’asseoir sur cette pierre
Où tu la vis s’asseoir ! »
…
Après quelques vers,
Lamartine vous suggère,
D’aller vous tremper
Le bec bien aiguisé,
La famille y compris
Au lac du Malsaucy.
Pédalo à l’eau
et Pieds mouillés